07 Mar 2025
Dans le monde spectaculaire du football, où les rumeurs volent aussi vite que les ballons, Romelu Lukaku, l’autruche belge émergeant sous le soleil napolitain, a décidé de déterrer la hache de guerre—non, pardon, de déterrer la paix—concernant sa relation avec le mystique José Mourinho. Visiblement immunisé face aux spéculations, Lukaku a catégoriquement écarté les idées de tensions entre lui et le sorcier portugais lors de leur aventure commune à Rome, comparant cette expérience à un voyage en tandem sur un grand huit émotionnel.
“Absolument pas,” a-t-il rétorqué avec la fermeté d’un attaquant face à un gardien, lorsqu’on l’a interrogé sur de quelconques frottements. “José est un gagnant, je l'ai eu deux fois, d'abord à Manchester et ensuite à Roma,” a-t-il ajouté, peignant Mourinho comme un architecte de victoires—même dans un club qui, avouons-le, n’était pas armé jusqu’aux dents.
Le belge a également glissé une observation intrigante : “Quelque chose s'est passé entre lui et je ne sais qui, et je ne voulais pas m'en mêler.” Il a fait preuve d’un respect omniprésent pour le tacticien, affirmant : “Je ne parlerai jamais mal de José, à Roma il n'avait pas une équipe de haut niveau, mais il est allé jusqu'au bout.” C’est un peu comme si cet entraîneur avait cuisiné un plat cinq étoiles avec seulement quelques ingrédients basiques. Il a, en effet, réussi à transformer une situation difficile en une histoire de résilience.
Pour couronner le tout, Lukaku a souhaité le meilleur à Mourinho, ajoutant avec un brin d'ironie : “Il fait des choses fantastiques en Turquie aussi.” Qui aurait cru que Mourinho pourrait également briller comme une étoile du soir dans le ciel turc ?
Cette interview met en lumière les mésaventures de Lukaku sous la houlette d’un Mourinho en quête de renouveau. Évoluant dans une équipe qui ressemblait plus à une collection de pièces de puzzle manquantes, Lukaku a su briller malgré l’obscurité ambiante, portant dans son sillage les espoirs d’une équipe qui peinait à retrouver le chemin des victoires. Tout en affichant un rayonnement impressionnant en tant que meilleur buteur de Napoli, Lukaku incarne la résilience, un peu comme un phoenix qui renaît de ses cendres.
En marge de ses réflexions sur Mourinho, Lukaku a abordé des sujets moins épineux comme son poids et son régime. Avec une légèreté d’esprit vague, il a révélé qu’il pesait actuellement 99 kilos, un petit pas en avant par rapport à ses 101 kilos lors de son passage à l’Inter. Si cela ne fait pas de lui un coureur de marathon, cela prouve tout de même qu’il veille sur sa condition physique. Enfin, il s'est engagé à terminer sa carrière à Anderlecht, son club de cœur, une promesse naïve faite à son fils qui y évolue actuellement, un geste aussi touchant qu’un but en fin de match pour l’amour familial. Qui aurait dit que le grand Lukaku rêverait d'une fin de carrière à la "à la maison" ?
Écrit par
Passionné par l'AS Roma depuis ma plus tendre enfance, je suis Lorenzo Mancini, journaliste et analyste sportif. Mon objectif est de vous offrir une couverture complète et passionnée des transferts, rumeurs et actualités du club. Avec une plume engagée et un regard aiguisé, je partage avec vous les coulisses du mercato giallorosso et l'évolution de notre équipe. Forza Roma !