23 Feb 2025
Claudio Ranieri, cet entraîneur à l'expérience millénaire, jongle avec les joueurs de l'AS Roma comme un chef d'orchestre émérite face à une symphonie de fatigue. Avec la pression des matchs qui se Bousculent comme des enfants dans un magasin de bonbons, il met en œuvre une stratégie audacieuse : un festival de rotations pour garantir que son équipe reste à la pointe du combat européen, tout en jonglant avec les exigences domestiques.
Ranieri, armé de sa panoplie de tactiques, a l'intention de relever le défi d'un calendrier aussi serré qu'une pièce de monnaie dans une machine à laver. Il sait que pour faire briller son équipe, il doit exploiter chaque joueur comme un chef étoilé utilise tous les ingrédients à sa disposition. Cette approche est essentielle si l'on considère le marathon de matches à venir en début d'année 2025, où la forme physique de ses guerriers pourrait bien s'amoindrir.
Mats Hummels, ce défenseur allemand de premier choix, est de retour dans le starting eleven après avoir eu un temps de jeu dérisoire de 79 minutes réparties sur cinq rencontres. Ce retour permettra de donner un souffle de fraîcheur à Evan N’Dicka, un joueur épuisé par une saison où il a été sollicité comme un serveur pendant un banquet de mariage.
Quant à Alexis Saelemaekers, le Belge en prêt de l'AC Milan, il pourrait bien augmenter son temps de jeu, si son corps se montre coopératif. Malheureux sort : il ratera le match contre le FC Porto après avoir joué les durs lors du premier duel. Les coudes sont de sortie, mais pas pour lui.
Les nouvelles recrues, à l'instar de Gourna-Douath, Salah-Eddine et potentiellement Nelsson, sont prêtes à enjoliver le banc de touche tout en intégrant peu à peu la grande chorégraphie de l'effectif. L'expérience et la profondeur de l'équipe s'étoffent, tel un gâteau à étages qui prend forme.
Au milieu de terrain, Bryan Cristante et Ngolo Koné seront les chefs d’orchestre, harmonisant les rotations avec des solos de Leandro Paredes et d'autres virtuoses du milieu. Comme dans une pièce de théâtre, chaque acteur joue son rôle à la perfection.
En attaque, le malheureux Artem Dovbyk est hors jeu en raison d'une blessure aux adducteurs, mais Eldor Shomurodov prendra les rênes. Il sera soutenu par Matias Soulé et Paulo Dybala, qui peaufineront leur énergie sur le banc, attendant leur heure comme des lions en embuscade.
Reconnu pour sa souplesse tactique, Ranieri est tel un caméléon en pleine mutation, prêt à changer de formation et à repositionner ses joueurs en fonction des adversaires. Attendez-vous à voir Soulé faire des pirouettes sur les ailes ou Saelemaekers se faufiler entre les lignes pour obtenir des avantages numériques, tel un magicien maniant des tours de passe-passe.
Depuis son retour, Ranieri a conduit l'AS Roma à une série éblouissante de neuf résultats positifs, comprenant six victoires et trois matchs nuls – une série digne des plus grands récits épiques, la meilleure depuis l'ère José Mourinho en 2022. Alors que la Roma se prépare à affronter cinq de ses sept prochains matchs au Stadio Olimpico, nul doute que l'élan actuel a de quoi faire frémir les équipes adverses.
En somme, la stratégie de gestion de l'effectif par Ranieri se présente comme une clé maîtresse pour ouvrir les portes du succès et s'assurer que l'AS Roma brille dans le firmament de plusieurs compétitions. Une danse minutieuse, où chaque mouvement compte.
Écrit par
Passionné par l'AS Roma depuis ma plus tendre enfance, je suis Lorenzo Mancini, journaliste et analyste sportif. Mon objectif est de vous offrir une couverture complète et passionnée des transferts, rumeurs et actualités du club. Avec une plume engagée et un regard aiguisé, je partage avec vous les coulisses du mercato giallorosso et l'évolution de notre équipe. Forza Roma !