28 Mar 2025
Vincenzo Italiano, l’homme qui a pris les rênes de Bologna à l’été dernier, a su prouver à tous ceux qui le considéraient comme un doux rêveur qu’il n’était pas simplement un marchand de chimères. Succédant à Thiago Motta, artisan d’une qualification historique en Ligue des Champions, Italiano s’est lancé dans une aventure qualifiée par certains de véritable « mission impossible ».
Alors que les sceptiques semblaient avoir des doutes aussi épais qu’un nuage de brume londonien, Italiano a pris les rênes du club avec une détermination à toute épreuve. Bologna, aujourd'hui fièrement positionné à la quatrième place de la Serie A, se profile comme un sérieux prétendant à une nouvelle qualification pour la Ligue des Champions, un exploit jadis considéré comme un rêve lointain au début de la saison.
Italiano, en souvenir des critiques acerbes le qualifiant de fou pour avoir décidé de relever ce défi, s’est lancé dans cette quête avec une motivation oscillant entre 50 et 60% sur la promesse d’emmener son équipe dans l’arène des plus grands clubs européens, là où chaque détail peut sceller le destin d’un match.
Parmi les joyaux de cette saison, la victoire éclatante de Bologna contre Borussia Dortmund en Ligue des Champions figure en lettres d’or. Malgré une élimination hâtive en phase de groupes, ce match, remporté après un retour sensationnel, a été célébré par les supporters comme si le club venait de décrocher le Graal. Un véritable soulagement après des mois de montagnes russes émotionnelles.
La dernière performance de Bologna, un époustouflant 5-0 contre la Lazio, a illustré la philosophie de jeu d’Italiano à la perfection. Ce but, ma foi, marqué par trois nouveaux joueurs sur quatre, témoigne d’une unité et d’un engagement total au sein de l’équipe. Une chorale où chaque voix trouve son harmonie !
Tandis que Bologna se prépare à l’approche de la fin de saison, Italiano reste humble, conscient que la route est semée d’embûches. La demi-finale de la Coppa Italia contre Empoli va certainement représenter un test de feu. Le rêve ? Mener 30 à 35 000 supporters à Rome pour la finale, un moment gravé à jamais dans l’histoire du club, comme une scène épique d’un film à succès.
En parallèle, l’ex-club d’Italiano, la Juventus, peine à retrouver son lustre d’antan. L’ombre de Thiago Motta plane sur Turin, où les ambitions s’essoufflent. Malgré des investissements qui auraient pu faire trembler l’édifice de la Serie A, l’échec de Motta pour reproduire à la Juventus le succès rencontré à Bologna est à pleurer. L’équipe se trouve désormais en dehors des portes du top 4, rêvant désespérément d’une qualification pour la Ligue des Champions afin de ne pas se heurter à des pertes financières plus graves que des blessures dentaires.
La Juventus, en quête de rédemption, a récemment engagé Igor Tudor pour faire office de pompier au milieu des flammes. En espérant que le projet reprenne son envol et que les espoirs de qualification pour la Ligue des Champions ne soient pas simplement une chimère pour la saison prochaine.
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Passionné par l'AS Roma depuis ma plus tendre enfance, je suis Lorenzo Mancini, journaliste et analyste sportif. Mon objectif est de vous offrir une couverture complète et passionnée des transferts, rumeurs et actualités du club. Avec une plume engagée et un regard aiguisé, je partage avec vous les coulisses du mercato giallorosso et l'évolution de notre équipe. Forza Roma !
